SITE OFFICIEL DU COMITE DE LA MARME DE BASKET DE BASKETBALL

ILS ONT ETE FORMES DANS LA MARNE

Audrey Sauret

 


Date de naissance : 31 octobre 1976 à Charleville-Mézières


Actuellement directrice sportive de l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez, Audrey est passée par l’INSEP de 1990 à 1993 avant de débuter sa carrière pro à Valenciennes puis Bourges, Iekaterinbourg, Tarente, Schio, Parme puis Lyon avec un crochet par la WNBA au club des Mystics.

 

Julien Sauret


Date de naissance : 4 août 1981 à Reims


Formé au RCB, Julien Sauret est passé par plusieurs clubs pros français comme Dijon, Boulazac, Antibes ou encore Denain. Il joue actuellement en NM3 avec le club de Cormontreuil

 

 

Endy Miyem

Date de naissance : 15 Mai 1988 à Reims


PARCOURS
•    1999-2002 : SJS Reims
•    2002-2003 : Pôle France Toulouse
•    2003-2006 : Pôle France
•    2006-2015 : Bourges
•    2015-2016 : Kursk (Russie)
•    2016-2018 : Schio (Italie)
•    Été 2018 : Minnesota (WNBA)
•    2018-2019 : Lattes Montpellier
•    2019-2021 : Charleville-Mézières
•    2021-... : Bourges


PALMARÈS
•    Médaille d’argent Jeux Olympiques 2012
•    Médaille de bronze Jeux Olympiques 2020
•    Championne d'Europe 2009
•    Médaille d’argent Euro 2013, 2015, 2017, 2019 et 2021
•    Médaille de bronze Euro 2011
•    Médaille de bronze Coupe du Monde U21 2007
•    Médaille de bronze Euro U20 2007
•    Médaille de bronze Euro U18 2005
•    Jeux de la Francophonie 2005
•    Eurocoupe 2022
•    Championne de France LFB 2008, 2009, 2011, 2012, 2013, 2015 et 2022
•    Coupe de France 2008, 2009, 2010 et 2014
•    Championne d'Italie 2017 et 2018
•    Coupe d'Italie 2018


Distinctions
•    MVP Euro U20 2007
•    Meilleure jeune LFB 2008
•    MVP finale Coupe de France 2014

 

 
Fleur Morel


Date de naissance : 22 juin 2005
1m82 | Poste : 3 / 2


Comme toutes ses coéquipières, Fleur Morel a vécu une saison particulière pour sa première année au sein du Pôle France. La crise sanitaire n’a permis à l’équipe de NF1 que de disputer quatre rencontres en septembre et octobre. Et au sein de la structure de l’INSEP, les mesures préventives n’ont fait que se renforcer au fil des semaines. "Nous ne sommes plus qu’une par table à la cantine. Plein de petites choses comme ça", sourit désolée la jeune femme. "En championnat on a longtemps eu l’espoir de reprendre. En janvier on s’est dit qu’il allait falloir se mettre en tête que ça ne serait pas le cas. Les coaches nous parlent beaucoup des compétitions internationales. Ça aide pour se donner à l’entraînement."

Fleur Morel a visiblement trouvé la motivation décrochant un titre de joueuses du mois dont elle confesse qu’elle "ne s’y attendait pas du tout". Une réaction qui traduit une personnalité dépourvue d’arrogance malgré une réussite météorique après ses débuts en 2014 à l’AS Cormontreuil Champagne Basket. Trois ans seulement plus tard elle intégrait avec un an d’avance le Pôle espoirs et a poursuivi son ascension jusqu’au Bois de Vincennes. "J’avais des problèmes de confiance en moi. Réussir rapidement m’a aidée. On m’a fait confiance de suite et j’étais dans une région où il y avait moins de concurrence. C’était une chance."

A Paris, Morel a découvert la culture de l’excellence et de l’exigence. Et même si aucun match ne vient confirmer le travail de la semaine, la Champenoise a pleinement conscience qu’elle n’a plus rien à voir avec l’adolescente ayant fait sa rentrée au PFBB en août dernier. Une évolution qu’elle a notamment ressentie lors de la rencontre face aux potentielles entrantes lors de la semaine de détection. "Physiquement et dans l’intensité, la différence est énorme. Une fille qui était au Pôle avec moi m’a dit que ça l’avait choqué. Elles ont fait des matches entre elles et elle m’a dit : c’est un autre monde."

 

Essome Miyem

 

Essome Miyem a signé son premier contrat professionnel à Strasbourg en février dernier. Un fait exceptionnel pour ce jeune de 18 ans, bien parti pour suivre le parcours de sa sœur Endy Miyem vers l’équipe de France et les Jeux Olympiques…
« Le basket-ball m’est venu assez naturellement car mon père coachait, mon frère et ma sœur jouaient à haut niveau », raconte Essome Miyem. Le basket est une histoire de famille chez les Miyem. Avec un père, Jacques, sur le parquet dans sa jeunesse puis coach, un frère, Mounadou, qui évolue en Nationale 3 à Bruay-la-Buissière, et Endy, une sœur, capitaine de l’équipe de France, Essome Miyem suit la même voie. « Au début, c’était leur chemin que j’essayais de prendre, ce sont des exemples à suivre », raconte-t-il. C’est alors avec bonheur qu’il a intégré le club de Strasbourg au poste d’intérieur en 2019, et qu’il a signé son premier contrat professionnel (jusqu’en 2023) en février dernier, pour jouer en Jeep Élite. « Le club de Strasbourg me fait confiance et j’en suis fier. Ce contrat professionnel vient dans la continuité du contrat jeune que j’ai signé la saison dernière », dit-il. Mais avant d’arriver à ce niveau, le Rémois a gravi petit à petit les échelons avec le soutien de sa famille. « Mon père et ma mère me donnent des conseils et m’encouragent. Ils connaissent les besoins d’un sportif de haut niveau et savent comment réagir car ma sœur est passée par ces moments-là. Avec mon frère et ma sœur, on se donne des nouvelles, on se soutient », explique-t-il.
« L’entrée à l’INSEP m’a vraiment marqué »
Essome Miyem a commencé le basket-ball à l’âge de quatre ans dans le club de Cormontreuil, près de Reims. À 12 ans, il intègre le pôle espoir de sa ville natale, ainsi que le club de Champagne Châlons Reims Basket. C’est en 2016 qu’il a quitté le cocon familial pour rejoindre l’INSEP, le haut lieu d’entraînement du sport français situé à Paris. « Mon entrée à l’INSEP m’a vraiment marqué, c’est un lieu avec un grand nom, beaucoup de grands joueurs sont passés par cette institution. C’est un peu une référence dans le monde entier », explique-t-il. Le dernier de la famille Miyem a alors ouvert les yeux sur tous les sacrifices qu’il fallait faire pour atteindre le haut niveau. Il détaille : « On ne peut pas vivre comme un jeune normal, on n’a pas beaucoup de temps pour se reposer, pour sortir ou faire des activités. Au début, c’est un rythme dur à tenir, mais une fois qu’on est dedans, on s’y habitue. » Il a découvert également les difficultés à concilier sport et études, mais a réussi à obtenir son baccalauréat. Le jeune Rémois n’abandonne pas facilement : « Il y a eu des moments difficiles, des moments de doutes. Mais c’est là qu’il faut travailler davantage et j’ai continué sans lâcher. » Un an après son entrée à l’INSEP, Essome Miyem est sacré champion d’Europe U16 avec l’équipe de France : « C’était ma première compétition internationale, j’ai pu découvrir le haut niveau et nous avons gagné. » Puis, il a enchaîné sur deux podiums, vice-champion du monde U17 et médaillé de bronze au championnat d’Europe U18. Mais son parcours n’est pas fait que de victoires et la défaite contre la Turquie en quart de finale du championnat d’Europe U18 en 2019 a encore un goût amer : « C’était une très grosse frustration parce qu’on était venu dans l’objectif d’être sacrés champions d’Europe et perdre si tôt m’a fortement affecté », confie-t-il.

 

 

Jenny Fouasseau 


Date de naissance : 9 janvier 1992 à Reims

 

Internationale dès l'âge de 15 ans Jenny remporte le tournoi de l'amitié avec l'équipe de France U15, ensuite elle obtient une médaille de bronze avec l'équipe de France U16 en 2008 (7.9 points / 2.1 rebonds et 1.3 assistances par match) et en 2011 elle termine 6e des championnats du monde avec l'équipe de France U19 (6.8 points / 3.8 rebonds et 0.4 assistances par match).
Elle commence sa carrière professionnelle à l'âge de 18 ans auprès de son club de toujours le Reims Basket féminin. Elle y passe 3 saisons, au fil desquelles elle gagne en temps de jeu (14:22 pour la saison 2009-2010 contre 31:34 pour la saison 2011-2012) et devient un pilier de son équipe.
Pour la saison 2012-2013 elle décide de rejoindre le COB Calais (relégué en LF2 en 2010-2011) club jouant en tête de tableau LF2. Durant sa deuxième saison dans le club nordiste, le COB Calais termine premier et se voit promu en Ligue féminine de basket et reçoit le Final Four 2014 ; Jenny termine vice-championne de France LF2 après une défaite en finale face à Perpignan (77-56). Elle termine la saison en tant que 18e meilleure marqueuse, 13e meilleur pourcentage à 3pts et 3e meilleure passeuse de la LF2.
Pour la saison 2014-2015 elle reste au COB Calais afin de répondre à ses ambitions et d'évoluer au sein de l'élite féminine (LFB). Après avoir contribué au maintien de Calais (9,4 points et 2,4 passes décisives de moyenne), elle signe à Arras pour la saison 2015-2016. Malgré une bonne saison (9,8 points, 2,9 rebonds et 2,1 passes décisives), elle ne peut éviter la relégation d'Arras et rejoint donc pour la saison 2016-2017 une autre équipe de LFB, Lyon.
En juin 2018, elle annonce s'engager pour une deuxième saison consécutive dans le Hainaut. Sa saison 2019-2020 est perturbée par deux blessures.

 

       PARCOURS

Saison               Club               
2009-2010     RBF
2010-2011     RBF
2011-2012     RBF
2012-2013     Calais
2013-2014     Calais
2014-2015     Calais
2015-2016     Arras
2016-2017     ASVEL
2017-2018     Saint-Amand
2018-2019     Saint-Amand
2019-2020     Saint-Amand
2020-2021     Charnay